Soirée des femmes juges
Pour que les rêves deviennent réalité
Six femmes inspirantes, accessibles et franchement sympathiques qui ont accédé à la magistrature. Une trentaine d’étudiantes allumées et intéressées, réparties autour de six tables de discussion. Voilà le concept de la Soirée des femmes juges tenue le 29 octobre dernier à la Faculté.
Initiée par l’honorable Danielle Côté, en collaboration avec l’Association internationale des femmes-juges, cette activité organisée par le Centre de développement professionnel vise essentiellement à rencontrer des étudiantes et à leur faire réaliser que la magistrature est accessible. Dans son mot de bienvenue, la juge Côté a tout de suite donné le ton à la rencontre. « On n’est pas des êtres exceptionnels; si vous avez des rêves, vous pouvez les réaliser vous aussi », a-t-elle affirmé.
Une formule conviviale
Dans une atmosphère détendue et conviviale, les étudiantes ont pu poser librement leurs questions aux juges et participer à des discussions spontanées. Les juges participantes ont ainsi pu rencontrer tour à tour les six groupes d’étudiantes pendant une quinzaine de minutes. La secrétaire de faculté et directrice des affaires étudiantes, maître Éliane-Marie Gaulin, la vice-doyenne à l'enseignement, la professeure Marie-Pierre Robert, la professeure Hélène Mayrand, la coordonnatrice du Centre de développement professionnel, Josée Perreault, ainsi que la coordonnatrice aux activités pédagogiques de recherche et communication, Josée Chartier, ont également pris part aux discussions.
Les juges participantes
Cette troisième édition de la Soirée des femmes juges a réuni des femmes au parcours inspirant :
Juge Madeleine Aubé, Cour du Québec
Juge Julie Beauchesne, Cour du Québec
Juge Danielle Côté, juge en chef adjointe à la Chambre criminelle et pénale, Cour du Québec
Juge Marie Deschamps, juge retraitée de la Cour suprême du Canada
Juge Sylvie Durand, Cour du Québec
Juge Line Samoisette, Cour supérieure
À propos de l’Association
L’Association internationale des femmes-juges vise à faire avancer les droits de la personne, à éliminer la discrimination fondée sur le sexe et à rendre la justice accessible à tous.