La pathologie urologique est une boucle multidisciplinaire au centre de laquelle se trouve le patient. Sur cette boucle, le médecin de famille, le chirurgien, le pathologiste avec les technologues de laboratoire, l’oncologue (médical et radiothérapeute) et les infirmiers pivots représentent chacun une branche solide de l’arbre décisionnel diagnostique et thérapeutique.
Le grading OMS 2016 des carcinomes prostatiques apporte un nouveau défi pour le pathologiste, en particulier sur les biopsies de prostate.
La dernière classification OMS 2016 des tumeurs urothéliales et la meilleure connaissance des aspects moléculaires de la carcinogenèse des tumeurs de vessie ont permis de déterminer des protocoles de traitements mieux adaptés à la prise en charge des patients.
Les tumeurs génito-urinaires sont nombreuses et variées, avec des entités histologiques classiques et des entités plus rares. Parmi elles, les tumeurs neuroendocrines.
Sur le plan thérapeutique, l’essor de la chirurgie robotique favorise un développement de procédures moins invasives, et les espoirs se tournent également vers l’immunothérapie.
La 9e journée scientifique du département de Pathologie confirmera, une nouvelle fois, l’importance d’une collaboration étroite entre le pathologiste, l’urologue et l’oncologue.
Hôtel Chéribourg, Orford
Rabais de 20$ pour une inscription avant le 27 septembre 2018