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Grâce à la flexibilité des horaires

De nombreux étudiants internationaux aux études supérieures dans les classes de français

Photo : Université de Sherbrooke

Les étudiants et étudiantes internationaux inscrits dans des programmes de 2e et 3e cycles à l'UdeS sont de plus en plus nombreux dans les classes de français langue seconde.

En effet, le Centre de langues note une présence accrue de ces étudiants, qui proviennent majoritairement des facultés de Génie et de Sciences, mais aussi d'Administration, de Lettres et Sciences humaines et du Centre de formation universitaire en environnement et développement durable (CUFE). À titre indicatif, ce trimestre, l'on note une augmentation d'environ 65 % du nombre de doctorantes et doctorants internationaux, en comparaison avec le trimestre d'automne précédent.

Ces derniers s'inscrivent principalement dans les cours de communication orale fondamentale, qui sont offerts dans une formule semi-intensive, deux fois par semaine, en fin d'après-midi.

Photo : Rocio Lilen Segura

Pendant leurs études de cycles supérieurs, ils en profitent ainsi pour apprendre une nouvelle langue étrangère, ce qui représente une valeur ajoutée de même qu'un facteur primordial d'intégration et de réussite. Par exemple, pour Rocio Lilen Segura, doctorante originaire de l'Argentine, il était très important de bonifier son passage à l'UdeS en consolidant ses bases en français tout en s'adonnant à ses recherches dans le domaine du génie civil. « Ces cours sont géniaux, je les recommande totalement à tous ceux qui souhaitent améliorer leur français. Les enseignants nous parlent en français dans les cours et nous encouragent, ils sont motivants », raconte-elle.

Devant l'intérêt de ces étudiants à continuer leur apprentissage de la langue française après la réussite des cours de base, le Centre de langues a décidé d'offrir, à compter de janvier prochain, des cours de niveaux intermédiaires selon ce même horaire, plus conciliable avec la charge de travail des étudiants des cycles supérieurs, qui travaillent souvent dans des laboratoires.

Cette première expérience s'avère déjà un vif succès, puisque plusieurs étudiantes et étudiants des études supérieures y sont inscrits.


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