Sommets Vol. XIX No 1 - Hiver 2006 |
par Valérie Charbonneau
Le parcours politique remarquable ainsi que la contribution exceptionnelle au développement durable de Pierre Marc Johnson lui ont valu le titre le plus prestigieux remis à l’occasion de ce gala, celui de Grand Ambassadeur. Comblé par la présence d’anciens collègues et de nombreux amis, il s’est avoué conquis et ému par l’honneur que lui a réservé l’Université, lui qui garde des souvenirs impérissables de ses études à la Faculté de médecine. «Pour moi, l’Université, c’était et c’est toujours le développement, le savoir et la liberté!» a-t-il lancé aux 350 convives. Il a également souligné sa grande fierté que son alma mater prenne les devants en intégrant le concept de développement durable à ses activités. Pierre Marc Johnson a été élu député du Parti québécois en 1976 et est devenu premier ministre du Québec en 1985. Lorsqu’il a pris la décision de quitter la vie politique après deux ans comme chef de l’opposition officielle, il a renoué avec l’enseignement et s’est spécialisé, entre autres choses, dans les questions environnementales. Avocat-conseil au cabinet Heenan Blaikie de Montréal depuis 1996, ce spécialiste de la médiation est aujourd’hui reconnu pour son expertise dans les domaines du commerce international, des négociations et des partenariats internationaux ainsi que du droit de l’environnement et du droit de la santé (voir article en page 10). Treize lauréates et lauréats remarquables
Parmi ces personnalités, trois ont reçu le titre d’Ambassadrice. Il s’agit de Johanne Saint-Laurent qui, au sein des Chaînes Télé Astral et d’Astral Télé-Réseaux, a participé activement à la création et au lancement des chaînes de télévision Canal D, Séries+, Ztélé et Historia. Marielle Ledoux a quant à elle été la première et longtemps la seule au Canada à allier les formations de nutritionniste et d’éducatrice physique. Angèle Séguin, auteure de plusieurs créations théâtrales, dont Les Lanternes oubliées ou Allégorie d’une planète en quête de lumière, a aussi reçu cette marque de reconnaissance. Six diplômés ont été nommés Ambassadeurs, dont Louis Dionne, sous-ministre de la Sécurité publique. Ont reçu le même honneur : Juan Roberto Iglesias, sous-ministre de la Santé et des Services sociaux, Yves Nadon, professeur à l’école Notre-Dame-du-Rosaire de Sherbrooke, Robert Hamel, président de Trocan, Jean-Guy Roy, directeur général de la Société Radio Ville-Marie, ainsi que Gary Slater, doyen de la Faculté des études supé-rieures et postdoctorales de l’Université d’Ottawa.
Le professeur Bruno-Marie Béchard, recteur de l’Université de Sherbrooke, a félicité les personnes honorées pour leurs idées porteuses d’avenir : «Nous ne formerons jamais trop de diplômées et diplômés engagés qui sortent des sentiers battus, provoquent des changements et inspirent par leur leadership dans tous les secteurs. Ils font de notre établissement lui-même leader, l’Université des leaders!» Au-delà de 100 000 diplômées et diplômés de l’Université de Sherbrooke agissent dans toutes les sphères de la société et participent à la renommée toujours grandissante de leur alma mater. Le Réseau de l’Université de Sherbrooke, qui organise chaque année le Gala du rayonnement, a pour mission de maintenir leur sentiment de fierté et d’appartenance afin de contribuer au rayonnement et au succès de l’Université de Sherbrooke.
Le Gala du Réseau des gens d’affaires
Diplômé en administration (1978) et en droit (1980), Michel Coutu a toujours démontré son attachement à son alma mater. En 2004, il a reçu le titre d’Ambassadeur de la Faculté de droit lors du Gala du rayonnement de l’Université de Sherbrooke. La soirée a permis d’amasser 150 000 $, qui ont été remis à La Fondation de l’Université de Sherbrooke. Merci aux participants et aux commanditaires de l’événement. |
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