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Nos projets

À l'Institut de recherche sur le cancer de l'Université de Sherbrooke (IRCUS), nos chercheuses et chercheurs réalisent plus de cent projets sur une grande variété de cancers : cerveau, colorectal, estomac, foie, mélanome, neuroblastome, oesophage, ovaire, pancréas, poumon, prostate, rein, sein, tête et cou, vessie, etc. 

Pour en savoir plus, communiquez avec Karine Tremblay, Ph. D., coordonnatrice scientifique de l'IRCUS, au 819 993-9719 ou à ircus@USherbrooke.ca.

Cancer ovarien : du retard à rattraper

Marilyne Labrie, Ph. D., professeure-chercheuse à l'IRCUS

Ses recherches visent à identifier les vulnérabilités thérapeutiques des tumeurs ovariennes afin de développer de nouveaux traitements personnalisées plus efficaces, dont l'immunothérapie. La professeure-chercheuse Marilyne Labrie a décidé de se concentrer principalement sur le cancer de l'ovaire, car contrairement à plusieurs autres types de cancer, le cancer de l'ovaire a connu peu de développement depuis les années 80.

Mieux vivre avec un cancer

Dominique Tremblay, inf., Ph. D., professeure-chercheuse à l'IRCUS

Ses recherches portent sur le développement et la mise en œuvre des interventions liées à la transformation des pratiques cliniques et organisationnelles en cancérologie. La finalité de ces interventions est d’améliorer la qualité et la sécurité des soins offerts aux personnes touchées par le cancer, de mieux soutenir leurs proches ainsi que d’optimiser l’expérience de travail des équipes de soins.

Cibler les cellules souches pour combattre les cancers digestifs

Véronique Giroux, Ph. D., professeure-chercheuse à l'IRCUS

Ses recherches portent sur une nouvelles populations de cellules souches dans le tube digestif, plus précisément dans l’œsophage et l’intestin, lesquelles seraient importantes dans la régénération des tissus et l’apparition du cancer. La professeure-chercheuse Véronique Giroux vise à mieux comprendre les voies de signalisation régulant le caractère unique de ces cellules, en plus de chercher à développer de nouvelles approches thérapeutiques ciblant les cellules souches pour améliorer la régénération tissulaire, optimiser les traitements anticancéreux, ou en développer de nouveaux.

Cancer du rein : intervenir au bon moment

Patrick Richard, M.D., M. Sc., urologue-oncologue, professeur-chercheur à l'IRCUS

Ses recherches portent sur la surveillance active qui vise à retarder un traitement en suivant de façon rapprochée une patiente ou un patient jusqu’à une éventuelle progression de la maladie. Plusieurs avancées médicales, dont l’imagerie abdominale, ont mené à un dépistage hâtif des cancers, ce qui amène souvent des problématiques de surdiagnostic et de surtraitement. Le surtraitement a peu de chance d’améliorer la condition de la personne malade alors qu'il peut mener à un taux de complications non négligeable ayant un impact sur sa qualité de vie. Le but ultime du projet est de mieux comprendre comment le patient ou la patiente se sent vis-à-vis de la surveillance active, pour ainsi faire bouger l’aiguille vers des approches moins invasives. 

La chimioradiothérapie : deux traitements en un!

Brigitte Guérin, Ph. D., professeure-chercheuse à l'IRCUS

Ses recherches visent à combiner la radiothérapie et la chimiothérapie en un seul médicament afin de simplifier le traitement et de le rendre plus efficace. Le nouveau médicament que la professeure-chercheuse Brigitte Guérin développe contient un agent chimioradiothérapeutique à base de platine et de cuivre-64, un radioisotope produit par cyclotron. Il lui permettra à la fois de traiter le cancer et de voir l’efficacité du traitement dans le corps humain à l’aide de l’imagerie TEP. Plusieurs étapes de recherche sont encore nécessaires afin de déterminer si ce traitement pourrait éventuellement être utilisé chez l’humain.

Comprendre la réponse immunitaire déclenchée par la radiothérapie pour améliorer les traitements

Ayman Oweida, Ph. D., professeur-chercheur à l'IRCUS

Ses recherches visent à découvrir de nouvelles cibles thérapeutiques qui amélioreront la réponse du cancer aux radiations. Le professeur-chercheur Ayman Oweida tente de définir les types de réponses immunitaires qui sont déclenchées par la radiothérapie chez des patients atteints d’un cancer du poumon, de la tête ou du cou. En utilisant une radiothérapie de pointe assistée par imagerie et d’autres approches uniques, ils étudient de nouvelles immunothérapies qui peuvent être combinées à la radiothérapie pour améliorer le traitement des patients.

Un soutien-gorge intelligent pour la détection et le suivi du cancer du sein

Elijah Van Houten, ing. Ph. D., professeur-chercheur à l'IRCUS

Ses recherches visent à développer un soutien-gorge intelligent facilitant la détection et le suivi du cancer du sein. Cette nouvelle technologie portative permettrait de suivre l’évolution de masses cancéreuses en temps réel : une avancée majeure dans le domaine. Une vingtaine d’années de recherches, de prototypage, et d’expérimentation ont été nécessaires avant que le professeur-chercheur Elijah Van Houten en arrive au résultat actuel. Un suivi à distance faciliterait grandement la vie des personnes vivant dans les communautés éloignées, ou encore de celles qui nécessitent des suivis plus réguliers.

Nouvelles approches contre le cancer du cerveau : un «aimant» à cellules!

David Fortin, M.D., professeur-chercheur à l'IRCUS

Ses recherches visent à développer de nouvelles approches contre le cancer du cerveau. Le professeur-chercheur David Fortin a développé une nouvelle technologie appelée GlioTrap qui agit comme un aimant attirant les cellules cancéreuses afin de traiter le glioblastome multiforme. Après une chirurgie pour retirer la tumeur, les chercheurs introduisent dans la cavité un gel chargé de molécules qui ont la propriété d’attirer les cellules cancéreuses. Le gel libère ensuite des doses de traitements de chimio et de radiothérapie à action lente qui ont pour mission de tuer les cellules.

Participer à la lutte contre le cancer, c'est choisir de changer l'avenir!

Faire un don à l'Institut de recherche sur le cancer de l'Université de Sherbrooke (IRCUS), c'est plus qu'un montant. Votre geste contribue à soutenir une recherche multidisciplinaire innovante qui permet de réduire l'impact du cancer auprès des personnes qui en sont touchées.