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Stage à l’international

Deux étudiants en politique appliquée s'envolent pour Washington DC

Catherine Pelchat et Marc-Antoine Leblanc, étudiants au baccalauréat en politique appliquée, vivront cette expérience unique cet été avec des étudiants de plusieurs autres pays.

Catherine Pelchat et Marc-Antoine Leblanc, étudiants au baccalauréat en politique appliquée, vivront cette expérience unique cet été avec des étudiants de plusieurs autres pays.


Photo : UdeS - Michel Caron

L’École de politique appliquée de l'Université de Sherbrooke offre de nombreuses occasions aux étudiantes et aux étudiants d’appliquer leurs connaissances et de parfaire leur apprentissage sur le terrain. La multitude de stages et de mircostages offerts chaque session reflète bien cette volonté. Les milieux sont variés et certains étudiants ont même la chance de voyager à l’international. Washington DC, noyau de la politique américaine, est certainement une destination prisée dans le domaine politique, mais s’avère dispendieuse à visiter dans le cadre d’un stage.

Moyennant une somme de plus de 10 000 $, il est possible de participer à un programme offert par le Washington Center qui permet de placer un stagiaire dans l’un des 600 employeurs partenaires de l'organisation. Afin de permettre l’accès à ce stage, une bourse gouvernementale est octroyée chaque année à certains stagiaires pour couvrir ces frais. Cette année, parmi tous les étudiants admissibles à l’Université de Sherbrooke, ce seront deux étudiants de l’École de politique appliquée qui profiteront de cette bourse.

Catherine Pelchat et Marc-Antoine Leblanc, étudiants au baccalauréat en politique appliquée, vivront cette expérience unique cet été avec des étudiants de plusieurs autres pays.

Catherine Pelchat
Catherine Pelchat
Photo : UdeS - Michel Caron

« Je suis subjuguée par le privilège qui m’est donné d’avoir accès à ce stage. Cela me permettra de développer mes acquis en relations internationales et de découvrir quelles sont mes capacités professionnelles sur le terrain. Avoir un stage de cette ampleur est fantastique, mais pouvoir le faire à Washington DC rend celui-ci merveilleux, avec une petite touche d’irréalité », explique Catherine Pelchat.

« C’est vraiment une chance en or d’approfondir mes connaissances sur la politique américaine », mentionne pour sa part Marc-Antoine Leblanc. « Je serai au cœur de l’endroit où se prennent les décisions sur les affaires publiques de nos voisins du Sud. C’est une opportunité de rencontrer une multitude de personnes hors de ma zone de confort. Surtout, c’est l’occasion d’appliquer sur le terrain les apprentissages que j’ai incorporés au cours de mon baccalauréat et de parfaire ce que j’ai appris. »

Marc-Antoine Leblanc
Marc-Antoine Leblanc
Photo : UdeS - Michel Caron

Le stage de dix semaines consiste en un emploi de quatre jours par semaines dans un poste relié au domaine d’étude des stagiaires, en plus de séminaires de développement professionnel et de conférences avec des personnalités politiques renommées. Cela permet aux étudiants de parfaire leurs connaissances des États-Unis et mieux comprendre le fonctionnement du système politique américain.

« Cette expérience est bien plus qu’un stage. C’est une opportunité de se créer un réseau à l’international tout en poursuivant son développement professionnel dans un milieu de travail qui ne serait pas atteignable autrement », souligne Marie-Eve Chrétien, conseillère pédagogique au 1er cycle.

L’expérience dépasse largement le cadre académique. Les compétences professionnelles acquises lors de ce stage sont un atout majeur dans le CV des étudiantes et des étudiants. Plusieurs employeurs dans divers organismes au Québec recherche de genre d’expérience chez un candidat.

« Le programme de stage de l’ÉPA permet aux étudiantes et étudiants d’acquérir de l’expérience et de garnir son C.V. Ce stage est l’exemple parfait puisqu’il permet d’ouvrir les portes de milieux professionnels convoités tel que le milieu des consulats, des ambassades, des chambres de commerce, des médias et des organisations internationales », mentionne Mme Chrétien.


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