Résultats de la dernière enquête ISO de l’UdeS
Un bon indice de progression pour notre santé organisationnelle
Bonne nouvelle! Notre indice de santé organisationnelle (ISO) a pris du mieux depuis sa dernière mesure, il y a deux ans. Si certains points de vigilance demeurent à surveiller, il n’en demeure pas moins qu’à l’issue des résultats du questionnaire acheminé à l’ensemble de la communauté universitaire plus tôt cet automne, notre bilan global atteste de la progression de notre bonne santé collective.
Les résultats révèlent un indice global de 72 sur une échelle de 0 à 100 points, une hausse de 5 points par rapport au dernier bilan, et ce, pour l’ensemble des profils de la communauté qui ont participé à la vaste enquête destinée à actualiser le portrait de la santé organisationnelle de l'UdeS, une démarche chère à l’institution.
Saviez-vous que?
L’UdeS a été en 2020 la première université canadienne à élaborer un indice de santé organisationnelle (ISO) pour son personnel et sa communauté étudiante.
Le bien-être de la communauté : au cœur des priorités
Ayant à cœur sa communauté et souhaitant favoriser son plein épanouissement dans un milieu où l’on apprend et l’on travaille mieux, l’UdeS a entrepris de prendre le pouls de sa santé organisationnelle tous les deux ans.
Ce qui fait la force de notre université, c’est notre communauté, et son bien-être figure dans les priorités de notre plan stratégique. Malgré le contexte postpandémique, nous avons progressé depuis le dernier bilan, et le portrait actuel nous dit que notre organisation est globalement en bonne santé.
Professeure Denyse Rémillard, responsable du comité ISO, rectrice adjointe et vice-rectrice à l'administration et au développement durable
Un milieu humain où l’on se développe
L’éducation, le développement de compétences et la carrière figurent parmi les forces de l’institution. Les résultats de l’enquête indiquent que le sentiment de développement professionnel et de confiance en ses capacités demeure élevé pour le personnel de l’UdeS.
Par ailleurs, la proportion de personnes étudiantes qui considèrent que leur formation les prépare adéquatement pour le marché du travail est en hausse par rapport à 2020. Une excellente nouvelle, alors que les expériences d’études axées sur la pratique et connectées sur le monde font la renommée de l’UdeS. Les personnes étudiantes se disent aussi plus satisfaites à l’égard des activités pédagogiques et de la qualité des rétroactions qu’elles reçoivent, et l’on dénote une amélioration par rapport à l’engagement dans leurs études et une intention plus marquée de mener à bien leur formation.
Les indicateurs liés à l’équité, la diversité et l’inclusion se démarquent aussi favorablement auprès de la communauté universitaire quant au climat et à la prise en charge de la diversité à l'UdeS. Parmi leurs priorités, bon nombre d'unités sont aussi à revoir les mesures d’accueil et de soutien des personnes étudiantes internationales afin de favoriser leur intégration et leur réussite.
Des améliorations sont aussi à mentionner au chapitre des pratiques de gestion pour le personnel, dont le sentiment d’autonomisation par rapport à ses tâches demeure des plus positifs. Il y aura toutefois lieu de se retrousser les manches pour assurer la clarté des objectifs de travail et la mission des unités.
Santé psychologique et physique : un enjeu de tous les instants
Sur le plan de la santé psychologique, physique et des saines habitudes de vie, les défis demeurent aussi nombreux, tant chez les personnes étudiantes que chez les membres du personnel. Chez ces derniers, la perception de l’état de santé psychologique et les conditions liées aux douleurs musculosquelettiques ne présentent pas ou peu d’amélioration. Pour s’attaquer à cet enjeu, de nombreuses initiatives sont en marche à l’UdeS.
En collaboration avec l’équipe de la Division de la santé et sécurité en milieu de travail et d’études, le kinésiologue et chargé de cours à la Faculté des sciences de l’activité physique René Maréchal a par exemple élaboré une capsule vidéo présentant des exercices que la communauté universitaire peut intégrer à son quotidien pour briser la sédentarité au travail.
Face aux défis des enjeux de santé organisationnelle, bon nombre d’unités ont mis en place des semaines thématiques et des activités vouées au bien-être et à la socialisation, afin de permettre tant au personnel qu’à la communauté étudiante de se réunir et de partager de bons moments.
En somme, en plus de refléter ses réalités et ses besoins, le bilan témoigne d’une progression de notre indice de santé organisationnelle dont nous pouvons collectivement être fières et fiers. D’ici la prochaine collecte de données prévue à l’automne 2024, de nouvelles initiatives auront été déployées et contribueront certainement à rendre notre communauté encore plus forte et mobilisée par rapport à l’importance accordée à la santé de notre organisation.