Law Games : l’UdeS se démarque encore une fois par son esprit d’appartenance
Connaissez-vous les Law games, également connus des francophones sous l'appellation «Jeux’Ridiques»? Il s’agit de l’événement annuel le plus populaire dans les facultés de droit au Canada. Chaque année, au début janvier, plus de 1000 étudiants en droit provenant de différentes universités canadiennes y croisent le fer, que ce soit par les compétitions sportives, le concours de plaidoirie ou d’autres épreuves intellectuelles. Tout cela dans une ambiance festive et amicale.
En 2008, les jeux se sont déroulés à l’Université de Montréal du 3 au 7 janvier. Comme à chaque année, la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke était au rendez-vous, avec une délégation de 50 étudiantes et étudiants fiers et déterminés. Entraînée depuis le mois d’octobre, la troupe entendait offrir la meilleure performance possible.
«Le 4 janvier, après une confortable nuit à l’hôtel, les compétitions sportives ont débuté dès 8h du matin», raconte Guillaume Daigneault, étudiant et membre du Comité organisateur des Law Games 2007-2008, section Sherbrooke. Après une journée très active, la force et la détermination de l’Université de Sherbrooke se traduisait par d’excellentes positions au classement. Le lendemain, la délégation de Sherbrooke a aussi connu quelques revers. «Cependant, toutes les équipes étaient fières de leur performance et ont eu beaucoup de plaisir à travers les différentes compétitions, poursuit Guillaume Daigneault.»
Le tout s’est terminé par un banquet qui faisait la part belle aux complets, tailleurs, robes de soirée et accessoires les plus distingués. S'il est toujours intéressant de décrocher les plus grands honneurs lors des compétitions, c'est surtout le souvenir d’une expérience inoubliable qui importe. «Il s’agit d’une occasion unique de créer des liens solides au sein de la faculté même, évoque Guillaume Daigneault. C’est aussi l’opportunité d’élargir notre cercle de connaissances en fraternisant avec des personnes avec qui nous garderons contact, ou qui deviendront peut-être même nos futurs associés.»