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La ministre du Développement international et de la Francophonie consulte

La Faculté de médecine et des sciences de la santé expose sa vision de l’aide internationale en santé

Pr François Couturier, Directeur de l’appui au développement international en santé, Sarah Stecko, Directrice adjointe de l’appui au développement international en santé du BRI, l’honorable Marie-Claude Bibeau, ministre du Développement international et de la Francophonie et le Pr Paul Grand’Maison, Directeur du BRI.

Pr François Couturier, Directeur de l’appui au développement international en santé, Sarah Stecko, Directrice adjointe de l’appui au développement international en santé du BRI, l’honorable Marie-Claude Bibeau, ministre du Développement international et de la Francophonie et le Pr Paul Grand’Maison, Directeur du BRI.


Photo : Fournie

En mai dernier, la ministre du Développement international et de la Francophonie, l’honorable Marie-Claude Bibeau, a lancé une série de consultations afin de repenser sa politique et son programme d’aide internationale.  Le gouvernement canadien désire recentrer son aide sur l’appui aux personnes les plus vulnérables et le soutien aux États fragiles ainsi qu’appuyer la mise en œuvre du Programme 2030 pour le développement durable adopté par les Nations Unies en septembre 2015.

La FMSS par l’entremise de son Bureau des Relations Internationales (BRI) a donc répondu à l’invitation de la ministre en présentant un mémoire résumant le rôle important que peuvent jouer les facultés de médecine et des sciences de la santé en appui à l’aide internationale canadienne en santé. Des représentants du BRI ont même eu l’occasion d’en discuter de vive-voix avec la ministre Bibeau et les membres de son équipe dans le cadre d’une séance de consultation tenue à l’Université Bishop’s le 3 août dernier.

Dans son mémoire, la FMSS présente plusieurs recommandations portant sur l’importance de :

  • Prioriser le renforcement des soins de santé primaires
  • Soutenir la formation des professionnels de la santé pour répondre aux besoins des populations incluant les plus vulnérables
  • Renforcer le recueil des données d’information sanitaire favorisant la production de données probantes et le transfert des connaissances
  • Favoriser des partenariats forts entre les institutions académiques et les milieux de soins de santé

La FMSS conclut son mémoire en précisant que les universités canadiennes et leurs facultés de médecine et des sciences de la santé peuvent apporter une contribution majeure dans la rencontre des objectifs visés par le Canada en matière de développement international en santé.