Les histoires qu’on se raconte sur… nos enracinements

Le Bas-Saint-Laurent tient une place bien spéciale dans le cœur d’Emmy. C’est là, sur les rives du fleuve, qu’elle a grandi. Très fière de son coin de pays, elle sent bien que son attachement est particulier… Mais à quel point? Et en quoi?

Comment fonctionne notre lien à un lieu ou à un repère, pendant l’enfance? Qu’est-ce qui influence cet enracinement – ou son absence? Comment évolue-t-il avec le temps, ou la culture?

Pour trouver des réponses, Emmy pose ses questions à trois spécialistes et à un groupe étudiant à la Faculté des lettres et sciences humaines dans ce tout premier épisode de la deuxième saison du balado Les histoires qu’on se raconte  :

• Kiev Renaud, du Département des arts, langues et littérature, explore ce qu’une voix d’enfant apporte aux récits qui traitent d’un lieu;
• Adib Bencherif, du Département de politique appliquée, décrit comment l’enracinement se produit chez les peuple nomades du Sahel et du Sahara;
• Yannick Huot, du Département de géomatique appliquée, vulgarise l’état des lacs au Canada et du fleuve Saint-Laurent – un des repères principaux d’Emmy;
• Les étudiantes et les étudiants du cours GEO252 – Espaces, cultures et sociétés, donné par Vincent Grimard, du Département de géomatique appliquée, témoignent de leur appartenance à des lieux signifiants pour eux.

Grâce à ces rencontres, Emmy sonde les histoires qu’on se raconte sur… nos enracinements.

Il était une fois nos aprioris, nos doutes, nos expériences et toutes les manières dont ils nous influencent, comme individus et comme société. À travers ce balado, une personne étudiante explore ses propres questionnements, dans une approche multidisciplinaire.
Il était une fois... Les histoires qu'on se raconte.