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Création du Fonds Maxime Descoteaux - Hélène Langis

Rendre hommage en posant un geste significatif

Serge Jandl, doyen de la Faculté des sciences, Maxime Descoteaux, professeur à la Faculté des sciences, et François Dubé, directeur général de La Fondation.
Serge Jandl, doyen de la Faculté des sciences, Maxime Descoteaux, professeur à la Faculté des sciences, et François Dubé, directeur général de La Fondation.
Photo : François Lafrance

Professeur au Département d’informatique de l’Université de Sherbrooke, Maxime Descoteaux se passionne pour l’imagerie médicale. Ses activités de recherche visent à mieux comprendre la structure du cerveau humain.

Sa mère Hélène Langis, également professeure à l’Université, est décédée en 2010. Ayant consacré toute sa vie à l’enseignement et à la pédiatrie, elle a transmis à Maxime sa soif de connaissances et sa passion. «J’ai voulu lui rendre hommage en posant un geste significatif en son honneur», confie-t-il en réfléchissant aux raisons qui l’ont motivé à créer le Fonds Maxime Descoteaux-Hélène Langis.

Léguer à la prochaine génération d'étudiants

Son souhait ultime serait que son don planifié mène à une découverte majeure en neuro-imagerie pédiatrique, une association entre ses activités de recherche et celles qu’effectuait sa mère. «Par exemple, il serait formidable qu’un étudiant fasse une percée en lien avec une maladie affectant le développement cérébral chez l’enfant, comme l’autisme», poursuit le donateur.

Léguer cet héritage à la prochaine génération d’étudiants de l’Université grâce au Fonds Maxime Descoteaux – Hélène Langis sera sa façon de les soutenir. «Je me sens très attaché à cette institution qui a vu quatre générations de professeurs Langis y enseigner : mon arrière-grand-père, mon grand-père, ma mère et maintenant c’est à mon tour d’écrire une page d’histoire de l’Université», conclut Maxime Descoteaux.


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