Médiathèque
Le Groupe de recherches et d'études sur le livre au Québec (GRÉLQ) met en ligne, sur sa chaîne Youtube et sur son site Web, divers contenus audiovisuels, tels que des captations de conférences, de colloques, de journées d'étude, de tables rondes, d'entretiens avec des professionnel.le.s du milieu du livre, des capsules vidéos sur nos nouvelles publications ou sur nos archives, etc.
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Films
Le film documentaire L’amour à dix sous. Le roman d’amour en fascicules au Québec, réalisé par Stéphanie Lanthier (U. de Sherbrooke), présente une synthèse des résultats des travaux d'une équipe de recherche dirigée par Marie-Pier Luneau (U. de Sherbrooke, directrice du GRÉLQ) et Jean-Philippe Warren (U. Concordia, cochercheur du GRÉLQ). Reposant sur une approche pluridisciplinaire (littérature, histoire, sociologie, études féministes, etc.), le projet « L'amour à 10 sous : le roman sentimental en fascicules au Québec (1940-1965) » vise à approfondir notre compréhension de la culture populaire, au moment où le Québec entre de plain-pied dans la société de consommation.
Capsules sur nos publications
Maxime Bolduc (U. de Sherbrooke) a rencontré Stéphanie Bernier (U. de Montréal) afin de lui poser quelques questions sur l'ouvrage, Liberté et contraintes dans la littérature québécoise. Mélanges offerts en hommage aux travaux de Pierre Hébert, qu'elle a codirigé avec Marie-Pier Luneau (U. Sherbrooke) et Pierre Rajotte (U. de Sherbrooke). Le livre est publié aux Presses de l'Université de Montréal.
Yanick Pinard (U. de Sherbrooke) a rencontré récemment Harold Bérubé (U. de Sherbrooke) afin de lui poser quelques questions sur son ouvrage Histoire des villes nord-américaines, publié dans la collection « Aujourd'hui l'histoire » chez Septentrion.
Karol'Ann Boivin (U. de Sherbrooke) a rencontré Harold Bérubé (U. de Sherbrooke) afin de lui poser quelques questions sur son dernier ouvrage, Le Canada. Lieu de rencontres et de conflits, publié chez Septentrion.
Maxime Bolduc (U. de Sherbrooke) a rencontré récemment Anthony Glinoer (U. de Sherbrooke) afin de lui poser quelques questions sur l'ouvrage qu'il dirige, Les maisons d'édition francophones au prisme de leurs archives, publié en libre accès aux Éditions des Archives contemporaines.
Maxime Bolduc (U. de Sherbrooke) a rencontré récemment Pierre Hébert (U. de Sherbrooke) afin de lui poser quelques questions son nouvel essai, Faut-il (encore) protéger la fiction ? Combats pour la liberté d'écrire et de lire au Québec, publié aux éditions XYZ.
Maxime Bolduc (U. de Sherbrooke) a rencontré Marie-Pier Luneau (U. de Sherbrooke) et Jean-Philippe Warren (U. Concordia) afin de leur poser quelques questions sur leur ouvrage, L'amour comme un roman. Le roman sentimental au Québec, d'hier à aujourd'hui, publié aux Presses de l'Université de Montréal.
Maxime Bolduc (U. de Sherbrooke) a rencontré récemment Karol'Ann Boivin (U. de Sherbrooke) afin de lui poser quelques questions sur l'ouvrage qu'elle a coécrit avec Marie-Pier Luneau, Jean-Philippe Warren et Harold Bérubé, L'Amour à 10 sous. Le roman sentimental québécois de l'après-guerre, publié chez Septentrion.
Karol'Ann Boivin (U. de Sherbrooke) rencontre Adrien Rannaud (U. de Toronto) afin de lui poser quelques questions sur son livre, La révolution du magazine au Québec. Poétique historique de La Revue moderne, 1919-1960, publié chez Nota Bene.
Maxime Bolduc (U. de Sherbrooke) a rencontré Josée Vincent (U. de Sherbrooke) et Marie-Pier Luneau (U. de Sherbrooke) afin de leur poser quelques questions sur le Dictionnaire historique des gens du livre au Québec, qu'elles ont codirigé et qui est publié aux Presses de l'Université de Montréal. Le livre est paru avec la collaboration de Paul Aubin, Frédéric Brisson, Patricia Godbout, Pierre Hébert, Marcel Lajeunesse, Éric Leroux, Jacques Michon et Suzanne Pouliot ainsi que Sophie Drouin, Mylène Fréchette et Fanie St-Laurent.
Conférences
Conférence d'honneur de Matthieu Letourneux (Université Paris-Nanterre), intitulé « Le Rose et le Noir (et le jaune et le bleu) : pour une histoire médiatique des usages des genres » et qui a eu lieu le 7 juin 2023 à l'Université de Sherbrooke (à salle Eastside de l'hôtel Times), lors du colloque « Le Rose et le Noir. Imaginaires sentimentaux et policiers sous la loupe (XIX-XXIe siècles) », organisé par Karol'Ann Boivin (Université de Sherbrooke, Marie-Pier Luneau (Université de Sherbrooke) et Jean-Philippe Warren (Université Concordia).
Conférence d'honneur de Marie-Ève Thérenty (Université Paul-Valéry-Montpellier 3), le 16 février 2023 à l'Université de Sherbrooke, lors du colloque « Perspectives croisées en histoire de la presse », organisé par Harold Bérubé (Université de Sherbrooke), Rachel Nadon (Université de Sherbrooke/Université Paris-Nanterre) et Henri Dion (Université de Sherbrooke).
Intitulée « Territoires et ambitions de la littérature française contemporaine », la conférence d’Alexandre Gefen a eu lieu le 23 septembre 2022 à l’Agora du Carrefour de l’information de l’Université de Sherbrooke et sur Teams. L'événement a été organisé par le Groupe de recherches et d'études sur le livre au Québec (GRÉLQ) et le VERSUS.
Résumé
Le territoire de littérature connaît aujourd’hui une formidable extension : de la littérature définie par son désintéressement, son autonomie, aux écritures contemporaines volontiers sociales et politiques, du sacre de l’auteur aux amateurs de fanfictions, du souci unique du style à la non-fiction, de l’apologie de l’originalité à l’exigence de l’enquête, de la solitude du créateur aux littératures de terrain, du roman romanesque aux écritures du monde non humain, du culte du texte aux écritures hors du livre, du tropisme occidental à la world literature, d’une conception linguistique à une approche informée par l’anthropologie culturelle et les sciences de la nature. Que s’est-il passé ? Pourquoi avons-nous longtemps identifié la littérature à l’art pour l’art ? Quels chemins a emprunté ensuite notre idée de la littérature, après s’être définie par son inutilité et son intransitivité, pour nous apparaître désormais comme une pratique communicationnelle et relationnelle, à la fonction éthique et même démocratique ?
Notice biobliographique
Alexandre Gefen, Directeur de recherche CNRS au sein de l’unité Théorie et histoire des arts et des littératures de la modernité (UMR7172, THALIM, CNRS / Université sorbonne Nouvelle – Paris 3), est historien des idées et de la littérature. Il est l'auteur de nombreux articles et essais portant notamment sur la culture, la littérature contemporaine et la théorie littéraire. Dernières parutions : Territoires de la non-fiction, Brill, 2020. Avec Olivier Bessard-Banquy et Sylvie Ducas, Best-sellers. L'industrie du succès, Armand Colin, 2021. L’idée de littérature. De l’art pour l’art aux écritures d’intervention, Corti, 2021. La littérature est une affaire politique, L’Observatoire, 2022.
Intitulée « Discours rapporté, parole déformée : remarques historiographiques autour des "truchements" dans les Relations des Jésuites », la conférence de Marie-Alice Belle (U. de Montréal) a eu lieu le 25 mars 2022 sur Teams. L'événement a été organisé par le Groupe de recherches et d'études sur le livre au Québec (GRÉLQ), le projet Awikhiganisaskak et le Centre de recherche collaborative autochtone - Atalwijokadimek (CERCA-A).
Résumé
Malgré le développement récent, dans les domaines de l’histoire culturelle et des études littéraires, de travaux critiques mettant en lumière les effets d’appropriation, déformation et manipulation de la parole autochtone dans les récits fondateurs de la Nouvelle France, le récit historiographique traductologique semble continuer à proposer une représentation quelque peu naïve du rôle des interprètes et autres « truchements » dans les premiers contacts entre les colons et missionnaires européens et les divers peuples autochtones concernés. À partir du cas des Relations des Jésuites, il s’agit de proposer quelques pistes historiographiques visant l’intégration de ces perspectives critiques dans le discours traductologique historique, et le développement de formes de récit qui abordent de front les complexités linguistiques et discursives, mais aussi bibliographiques et documentaires entourant ce chapitre spécifique de l’histoire de la traduction.
Notice biobibliographique
Marie-Alice Belle est professeure agrégée au Département de linguistique et traduction à l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur l’histoire de la traduction dans la première modernité ; elle a publié entre autres sur les relations littéraires franco-anglaises à la Renaissance, les réseaux jésuites de production et circulation de traductions au 17e siècle, et les liens entre traduction et histoire du livre. Elle dirige actuellement le projet international « Trajectories of Translation in Early Modern Britain : Routes, Mediations, Networks » à l’Université de Montréal.
La conférence de Fannie Dionne, « De "vieux livres hurons". Utilisation et circulation des dictionnaires jésuites en français et wendat », a eu lieu le 22 octobre 2021 de 12h à 13h au local A4-372 de la Faculté de lettres et sciences humaines de l'Université de Sherbrooke. L'événement a été organisé par le projet Awikhiganisaskak en collaboration avec le Groupe de recherches et d'études sur le livre au Québec (GRÉLQ).
Intitulée « L'entretien littéraire comme performance médiatique », la conférence de Galia Yanoshevsky (Université Bar-Ilan, Israël) a eu lieu le 16 octobre 2019 à la salle du conseil de la Faculté des lettres et sciences humaines de l'Université de Sherbrooke.
Intitulée « Ils sont fous ces Kébécois ! La bande dessinée québécoise après 1968 », la conférence de Sylvain Lemay (UQO) a eu lieu le 4 octobre 2019 à l'Agora du Carrefour de l'information de l'Université de Sherbrooke.
Résumé
Dans la foulée des événements de Mai 68 (et octobre au Québec) qui secouent la société occidentale, arrive au Québec une nouvelle génération d’auteurs de bande dessinée. Ils sont jeunes et représentent l’avant-garde au même titre que leurs confrères européens qui tentent de prendre possession de la revue Pilote au même moment. Mais au Québec, contrairement à la France et à la Belgique, il n’y a pas de tradition en bande dessinée. Contre qui alors tentent-ils de s’établir ? La décennie suivante verra apparaître différentes initiatives afin de constituer un champ de la bande dessinée kébécoise. En 1968, la bande dessinée prend son envol au Québec. Mais y’avait-il un pilote dans l’avion ?
Conférence de Robert Dion à l'Université de Sherbrooke le 26 novembre 2018.
Conférence de Myriam Boucharenc à l'Université de Sherbrooke le 9 avril 2018.
Conférence d'Adrien Rannaud à l'Université de Sherbrooke, intitulée « "Retrouver dans ces pages la fraîcheur de ses premiers émois" Amour et magazine au Québec dans les années 1950 », le 10 novembre 2017.
Conférence de Stéphane Girard à l'Université de Sherbrooke le 28 avril 2017.
Résumé
Comme dans de nombreux pays, l’approche prosopographique connaît d’importants développements en Suisse depuis quelques années. Force est toutefois de constater que les élites politiques et économiques ont davantage retenu l’attention que les milieux intellectuels et culturels. Quant à l’histoire du livre plus spécifiquement, elle reste encore prisonnière d’approches majoritairement monographiques et d’enquêtes sectorielles sur le plan thématique et/ou géographique. En nous appuyant sur la somme récente constituée par le Dictionnaire historique de la Suisse, on tentera de dégager quelques lignes de force structurelles d’un paysage du livre multilingue particulièrement diversifié et partie prenante de l’histoire sociale et intellectuelle européenne.
Résumé
Longtemps, les écrivains québécois migraient vers la France comme les outardes s’envolaient vers le sud, revenant malgré eux affronter les rigueurs de la scène littéraire locale. Ces nombreux allers-retours ont fait surgir un personnage emblématique des tensions constitutives au relais français, celui du retour d’Europe. Quand et sous quelles conditions cette figure mythique a-t-elle été discursivement fabriquée? Quels en étaient les traits principaux? C’est ce que cette conférence tentera d’expliquer, en recourant aux réflexions sur l’ethos et la posture (Amossy et Meizoz), ainsi qu’à quelques données prosopographiques.
Notice biographique
Michel Lacroix est professeur au Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal (UQÀM) et membre du Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises. Il est membre du collectif de rédaction de La vie littéraire au Québec. Il poursuit des recherches sur les relations francoquébécoises, les sociabilités intellectuelles et les représentations de la vie littéraire.
Résumé
Bien connu au Québec et à ce titre présent dans le Dictionnaire de la censure au Québec. Littérature et cinéma dirigé par Pierre Hébert, Yves Lever et Kenneth Landry, l’abbé Bethléem exerça une influence profonde sur une grande partie du public lecteur du début du XXe siècle à la « Révolution tranquille ». Auteur du fameux Romans à lire et romans à proscrire qu’un personnage du Libraire de Gérard Bessette met en scène en 1960, directeur de la Revue des Lectures qui prenait, en 1919, la suite de Romans-Revue, et de bien d’autres ouvrages, tracts et brochures, il fut encore, neuf ans après sa mort, l’inspirateur principal de la loi du 16 juillet 1949 dite de protection de l’enfance et de la jeunesse. À Montréal comme à Montevideo, c’est avec son livre consacré aux pièces de théâtre que les censeurs locaux autorisaient ou refusaient l’organisation des spectacles pendant tout l’entre-deux-guerres. Surveillant avec le même zèle la radio, le cinéma et la bande dessinée, le redoutable censeur faisait pousser à Claude-Henri Grignon ce cri de joie à l’annonce de son décès : « Enfin, il est mort ! » Aux yeux de l’auteur des Pamphlets de Valdombre, seule la disparition du protégé de Rome et de la haute hiérarchie catholique pouvait être en mesure de libérer le champ littéraire de la tutelle qui pesait sur lui. Objet d’un livre récent La mise au pas des écrivains. L’impossible mission de l’abbé Bethléem au XXe siècle (Fayard, Paris, 2014, 510 p.), l’abbé Bethléem retrouve, en ce début du XXIe siècle une nouvelle jeunesse en raison des crispations et des censures auxquelles on assiste dans une partie du monde, chrétien, musulman ou hindouiste. Jean-Yves Mollier, historien du livre, de l’édition et de la censure, coorganisateur, avec Jacques Michon du premier colloque mondial de la discipline, organisé à Sherbrooke en 2000, présentera son livre dans le cadre du séminaire GRÉLQ / Édisoc. Cette intervention sera suivie d’une table ronde à laquelle participera Pierre Hébert, spécialiste de la censure au Québec.
Notice biographique
Jean-Yves Mollier est professeur d’histoire contemporaine et directeur de l’École doctorale Cultures, Régulations, Institutions et Territoires à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. Auteur de nombreux livres sur l’édition et la lecture (L’Argent et les Lettres, Où va le livre?), il a publié Édition, presse et pouvoir en France au XXe siècle en 2008, La Librairie Tallendier. Histoire d’une grande maison d’édition populaire en 2011 et, en 2012, une Histoire de la Librairie Larousse (1852-2010).
« Les entretiens d'écrivains dans une émission grand public : le cas de Lectures pour tous (1953-1968) », conférence de Guillaume Willem à l'Université de Sherbrooke, organisée par le Groupe de recherches et d'études sur le livre au Québec (GRÉLQ), le 7 novembre 2014.
« Peut-on penser les médias sans les imaginer? Réflexions sur la notion d'imaginaire médiatique », conférence de Guillaume Pinson à l'Université de Sherbrooke, organisée par le Groupe de recherches et d'études sur le livre au Québec (GRÉLQ), le 25 novembre 2013
« Retours d'écrous : se préfacer sous pseudonyme », conférence de David Martens à l'Université de Sherbrooke, organisée par le Groupe de recherches et d'études sur le livre au Québec (GRÉLQ), le 22 avril 2014
« Nouvelle forme des marchés de la culture? Une enquête sur les intermédiaires dans les professions culturelles », conférence de Hervé Serry à l'Université de Sherbrooke, organisée par le Groupe de recherches et d'études sur le livre au Québec (GRÉLQ), le 11 octobre 2013
Entretiens et tables rondes avec des professionnel.le.s du monde du livre
Causerie avec Mélikah Abdelmoumen (Lettres québécoises) à propos de la diversité dans le monde du livre, animée par Maxime Bolduc (Université de Sherbrooke) et Josée Vincent (Université de Sherbrooke). L'événement a eu lieu dans le cadre du séminaire LIT742 - Livre et diversité, offert par la professeure Josée Vincent. La causerie a eu lieu le 24 novembre 2021 de 8h30 à 11h00 au local A4-277 de la Faculté des lettres et sciences humaines de l'Université de Sherbrooke.
Causerie avec Thomas Campbell (Éditions Héritage et Communication-Jeunesse) à propos de la diversité dans le monde du livre, animée par Maxime Bolduc (Université de Sherbrooke) et Josée Vincent (Université de Sherbrooke). L'événement a eu lieu dans le cadre du séminaire LIT742 - Livre et diversité, offert par la professeure Josée Vincent. La causerie a eu lieu le 3 novembre 2021 de 9h30 à 11h20 au local A4-277 de la Faculté des lettres et sciences humaines de l'Université de Sherbrooke.
Une table-ronde avec Sandrine Donkers (déléguée commerciale et coordinatrice chez Druide Éditions et Antidote). Kim Leblanc (attachée de presse chez Lux éditeur), Karine Vachon (directrice générale de l'ANEL) et Marie-Hélène Vaugeois (co-propriétaire de la librairie Vaugeois), et animée par Anthony Glinoer (U. de Sherbrooke), a eu lieu le 7 mai 2021 dans le cadre du colloque « Dans un monde d'hommes : femmes, archives et histoire de l'imprimé au Québec » lors du 88e congrès de l'ACFAS.
Dans le cadre du colloque « Dans un monde d'hommes : femmes, archives et histoire de l'imprimé au Québec », Marie-Andrée Bergeron (U. de Calgary) s'est entretenue avec Rachel Bédard, éditrice aux Éditions du Remue-Ménage. L'entretien a eu lieu le 5 mai 2021 sur la plateforme Zoom pendant le 88e congrès de l'ACFAS.
Causerie littéraire avec Marie-Hélène Vaugeois (Librairie Vaugeois), animée par Karol'Ann Boivin (Université de Sherbrooke) et Josée Vincent (Université de Sherbrooke). L'événement a eu lieu à l'Université de Sherbrooke le 19 février 2020.
Conférence « Les hauts et les bas d'une carrière à deux en traduction littéraire » de Phyllis Aronoff et Howard Scott qui a eu lieu à l'Université de Sherbrooke le 12 février 2020.
« Les Éditions Héliotrope : causerie avec Olga Duhamel-Noyer, écrivaine et directrice littéraire aux Éditions Héliotrope » animée par Marie-Hélène Jeanotte (Université de Sherbrooke) a eu lieu le 3 avril 2019 à l'Université de Sherbrooke.
« L'édition autochtone au Québec : causerie avec Jean Sioui, écrivain et éditeur aux Éditions Hannenorak » animée par Virginie Mailhot (Université de Sherbrooke) a eu lieu le 27 mars 2019 à l'agora du Carrefour de l'information de l'Université de Sherbrooke.
Causerie avec Rodney Saint-Éloi, écrivain et éditeur chez Mémoire d'encrier. Animée par Josée Vincent le 6 février 2018 à l'Université de Sherbrooke.
Conférence de Mark Fortier, éditeur chez Lux, le 11 octobre 2016 à l'Université de Sherbrooke.
Rencontre littéraire avec Claudine Bertrand. Événement co-organisé par le GRÉLQ, le Centre Anne-Hébert, le Conseil des arts du Canada et la Faculté des lettres et sciences humaines de l'Université de Sherbrooke.
Depuis quelques années, le phénomène du « premier roman » publié par un auteur retient l’attention, autant des spécialistes de la sociologie du littéraire, qui lui consacrent des études, que des médias en général, qui le constituent presque en catégorie générique autonome. Récemment, de nouveaux supports sont apparus afin d’en favoriser la diffusion. En France, le Festival du premier roman de Chambéry en est l’un des porte-étendards, tandis qu’au Québec, le site de « larecrue.net » assure une meilleure visibilité aux premières œuvres littéraires. Quels enjeux sont au cœur de la création, de la production et de la diffusion d’un nouveau roman, à l’ère du numérique? La table ronde mettra en dialogue la primo-romancière Mikella Nicol et son éditrice, Geneviève Thibault, fondatrice de Le Cheval d’août éditeur. Paru à l’automne 2014, Les Filles bleues de l’été, de Mikella Nicol, a connu un succès retentissant dans les médias. Fondé la même année, Le Cheval d’août éditeur fait partie de ces nouvelles structures dynamiques qui consacrent une importante part de leurs énergies à favoriser l’émergence d’une jeune génération d’écrivains, au moyen de stratégies inédites. Sous la forme de questions adressées à Mikella Nicol et à Geneviève Thibault, la table ronde vise à interroger le processus de création et d’édition du premier roman, en cernant sa place tant dans la trajectoire particulière de l’écrivaine que dans le marché actuel de l’édition québécoise.